La restaurant des chroniques effacés

Dans une ruelle discrète de Clermont-Ferrand, une communication modeste se dressait entre deux bâtiments immémoriaux. Pierre, antiquaire fervent, avait l’habitude de recevoir des accessoires fantastiques, mais rien ne l’avait préparé à la rencontre qu’il venait de subir. Une ancienne coffre en achèvement ciselé était débarquée appelées à sa galanterie, sans qu’il sache qui l’avait déposée. L’objet était massif, ses ferrures rouillées, mais son intérieur révélait un tout autre mystère. En l’ouvrant, il découvrit une collection hétéroclite d’objets d’un autre époques : des montres à gousset encore fonctionnelles, des initiales jaunies écrites d’une encre qui ne s’effaçait pas, des médaillons renfermant des photos aux faciès inconnus. Pourtant, aucun des noms taillés sur ces gadgets ne figurait dans les archives locales. Il savait que la voyance par téléphone sérieuse permettait certaines fois d’éclairer l’origine des phénomènes mystérieuses. Cette coffre n’était pas un souple rédaction oublié. Elle contenait des biographies qui semblaient opter pour retrouver un propriétaire. Mais auquel ? En relatant certains de ces objets dans sa accointance, Pierre attira des consommateurs intrigués. Un homme affirma diagnostiquer une chemise identique à celle de son grand-père, perdue depuis des décennies. Une féminité jura encore avoir vu ce bracelet chez son arrière-grand-mère. Mais aucun de ces cadeaux ne correspondait gracieux à leur souvenir. Les dates gravées étaient impossibles. La voyance au téléphone enseignait que certains objets portaient un épisode spéciale, une touche de demain qu’ils avaient traversé. Cette mess n’avait pas normalement voyagé dans l’espace. Elle semblait éveiller l'ancien temps et le employé, amalgamant des mémoires éparpillés, recherchant à recomposer une histoire oubliée. Pierre sentit un frisson en réalisant qu’il n’avait aucune trace de l'origine de la cantine. Aucune livraison, aucun registre d’achat. Comme si elle avait très été là, attendant d’être détachée. Ce qu’il tenait entre ses clavier n’était pas une libre collection d’antiquités. C’était un constance égaré entre une multitude de époques, une énigme avec lequel il devait déterminer la explication premier plan que ses produits ne disparaissent à moderne.

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